Revue sur la machine à sous Chicago Gangsters de Playson

Machine à sous Chicago Gangsters de PlaysonLa machine à sous Chicago Gangsters est une création de Playson sortie en septembre 2018 Dotée de 5 rouleaux, elle propose un total de 20 lignes de payement, avec la possibilité de remporter jusqu’à 100 000 €. De quoi motiver même les joueurs les plus sages à fricoter avec les plus redoutables gangsters de l’Amérique des années folles. On a tenté l’aventure et voici ce qu’on en retient.

Retour aux années folles

Comme l’indique assez clairement son nom, la machine à sous Chicago Gangster nous propose un petit saut dans le temps, dans le Chicago de la Prohibition. Période aussi trouble que glorieuse, les années 30 ont en effet vu émerger, dans la ville de Chicago, les hors-la-loi les plus populaires de toute l’histoire des Etats-Unis. Al Capone, Bugsy Siegel ou encore Lucky Luciano sont quelques-uns de ceux-là qui sont restés tout aussi craints qu’adulés. C’est à cette époque, où la mafia dictait sa loi, que nous emmène ce nouveau jeu. Pour cela, Playson a pris le soin de recréer un peu l’ambiance de l’époque, avec, pour commencer, une musique en fond sonore typique de la période. Pour ce qui est des éléments graphiques, on retrouve, en arrière-plan, une illustration d’une rue sombre du Chicago de l’époque. On peut notamment admirer les superbes voitures Model T de la période, garées de part et d’autre de la chaussée.

Sur les rouleaux du jeu, les symboles présents sont bien dans la thématique : un gangster armé de son fusil, un verre d’alcool avec un cigare et des jetons de casino, une voiture, une femme cigarette à la main, ainsi que des symboles de jeux de cartes (A, J, K, Q). A cela, s’ajoute des symboles spéciaux sur lesquels nous reviendrons plus bas.

Niveaux de mise et payement du jeu

Sur la machine à sous Chicago Gangsters, les mises démarrent à 0,2 € et il est possible de miser jusqu’à 100 € par tour. Grâce à cette mise maximale et aux fonctionnalités spéciales du jeu, il est possible de décrocher jusqu’à 100 000 €.

Wild, symboles bonus, symboles mystère, jeu bonus et jackpots

Le gameplay de la machine à sous Chicago Gangsters est assez riche en surprises. En plus de symboles classiques évoqués plus haut, on voit en effet défiler plusieurs symboles spéciaux qui déclenchent différentes fonctionnalités. Pour commencer, il y a un symbole Wild clairement reconnaissable qui a la capacité de substituer aux symboles de base pour créer des combinaisons gagnantes.

Ensuite, il y a le symbole Bonus qui est représenté ici par un jeton de casino de couleur jaune et rouge qui peut avoir différentes valeurs. Grâce à lui, vous pouvez déclencher un jeu bonus si vous en réunissez au moins 6 sur les rouleaux au terme d’une rotation. Au début de ce jeu bonus, vous obtenez 3 re-pins gratuits au cours desquels les symboles Bonus précédemment apparus restent à leur emplacement initial. De même, pendant cette phase de jeu, seuls les nouveaux symboles bonus qui apparaîtront seront conservés à l’écran. Et pour chacun d’eux, vous obtiendrez 3 re-pins complémentaires. Le jeu bonus se poursuit ainsi jusqu’à épuisement des re-spins. Vous encaisserez alors la somme des valeurs des jetons bonus présents sur le jeu. Mais si vous parvenez à couvrir entièrement les rouleaux de jetons bonus pendant ce mode de jeu, alors vous aurez le plaisir de décrocher le Grand Jackpot d’une valeur de 100 000 €.  A défaut, vous pouvez également décrocher le Mini Jackpot ou le Major Jackpot, en faisant apparaître respectivement un jeton marqué Mini ou un marqué Major durant le jeu bonus.
Enfin, il y a également, dans le jeu de base, un symbole Mystère qui, à la fin du tour, peut prendre l’apparence de n’importe quel symbole de base.

Notre avis sur le jeu

Globalement, la machine à sous Chicago Gangsters correspond assez à ce qu’on pouvait espérer. Elle manque encore certes d’animations, en 3D notamment, mais elle se rattrape bien avec son univers graphique et la diversité de son gameplay. Et puisqu’en plus on peut y gagner jusqu’à 100 000 € d’un coup, pourquoi s’en priver ?